L'Audi A1 E-tron dévoilée à Genève

Nous sommes toujours présent sur ce superbe salon de Genève, où après la fascinante Ferrari F599 Hy-Kers, Mercedes F 800, le Cayenne 2, et bien d'autres... C'est au tour d'Audi de nous présenter leur nouveautée...

On l'attendait depuis quelque mois, Audi nous présente enfin sa petite dernière : la citadine A1. C'est Mesdames vont étres contentes, en effet, la petite A1 est parfaite pour la ville avec son petit look "d'urbaine branchée" ! En déplaise à Mini !

Mais Audi ne s'arrète pas là. A peine son modèle sortie, il nous dévoile à ce salon sa version électrique de celle-ci : la e-tron. Cette dernière dispose de l'hybride avec un bloc thermique pour recharger les batteries et d'un moteur électrique d'environ 100 ch. Elle dépasse timidement les 130 km/h, mais est suffisant pour des trajets urbains.

La A1 e-tron pourra ainsi se déplacer sur quasiment 200 km, en consommant, attacher vous bien, 1,9 l/100 km ! Sachant tout de même que concernant son autonomie Audi travail encore dessus afin d'accroitre celle-ci. Mais il faudra encore être patient car cette technologie ne sera pas présente sur les véhicules à la vente avant quelques années.

Enfin, ce salon est l'occasion de réaliser des exploits écologique de la part des constructeurs, mais quasi aucun constructeurs le propose encore vraiment à la vente. Le future a encore de nombreuses choses à nous révéler !

Les nouveautés du Salon de Genève 2010

Nous l'attendions, et bien le 80e Salon international de l'automobile de Genève a ouvert ses portes le 4 Mars, avec de nombreuses nouveautés à découvrir...

Ce salon est comme chaque années, le moyens pour les constructeurs mondiaux de présenter leurs nouveautés, leurs savoir-faire, des show-cars ou autres démonstrateurs à travers les différents stands.

Comme depuis quelques années maintenant les constructeurs sont partagés entre présenter de belles et nobles mécaniques et respecter l'environnement. Mais la tendance de cette année est définitivement celle de la voitures "vertes". Tous les constructeurs ont signés des nouveautés hybrides, qu'ils soient des concepts comme l'Audi A1, la RCZ Hybrid de chez Peugeot ; ou des véhicules commercialisées comme le Lexus CT 200h, le X6 et série 7 de chez BMW, la Toyota Hybride... Ou biensûr encore l'électrique avec notamment la série 1 ActiveE et la Honda EV-N.


Même Ferrari se met à l'hybride en présentant la HY-Kers, un prototype basé sur sa 599 GTB et devinés quoi, elle est verte! Et oui, on a beau s'appeler Ferrari, on doit tout de même penser à la planète !

Pour réaliser cette performance, Ferrari à du réduire le poid de son bolide, et également développer le KERS (Kinetic Energy Recovery System), cela corresponds au système de répartition de la puissance énergétique du freinageration de l'énergie cinétique. Noté que cette technologie a été utilisé l'année passée en Formule 1. Ainsi donc, cette 599 est doté d’un moteur électrique situé sur le train arrière et développant 110 chevaux, mais rassurez-vous, le 5.9 V12 est toujours présent sous le capot avant.

Cette Ferrari peut donc se venter de se déplacer uniquement avec le mode électrique en circulation urbaine ! Mais sorti de cette envirronement, le V12 de 620 ch reprend le relai, et cela permet donc de recharger les batteries comme initialement. Dernier point à évoquer les émissions de CO2 qui chutent de 415 à 269 g/km ! Qui dit mieux ?!

A noter tout de même que la version définitive de ce modèle n'est pas prévue avant 2 ans. Mais cela prouve tout de même que Ferrari est conscient du problème de l'écologie. Car il ne s'arrète pas là, dans les années à venirs tous les modèles Ferrari devraient être hybride, à l'exemple dès maintenant, du Stop & Start étant disponible sur la California réduisant la consommation de près de 6 %.

Pour finir, Ferrari a sût étonner tous les constructeurs en démontrant que même sur des supercars ont pouvait jouer la carte de l'écologie, en ne négligeant pas pour autant les performances ou la réussite de la mythique marque au cheval cabré.

Nouvelle Citroën DS3 THP

Aujourd’hui, Citroën s’attaque de front à la Mini. La marque aux chevrons a en effet décidé de créer une gamme de luxe, dénommée DS, sur une base de ses modèles actuels. A contre-courant de la crise économique, elle a préféré prendre le chemin du haut de gamme plutôt que de miser sur des modèles low-cost. La première de la lignée n’est autre que la version de luxe de la C3, la DS3. Allusion à la mythique DS des années 50 à 70.

Citroën promet que son nouveau joujou apportera une expérience de conduite géniale, alors que la Peugeot 207 RC , génétiquement semblable, déçoit sur ce point. Un look chic et soigné, une gamme de personnalisation infinie, allant de la touche de chrome aux décalcomanies, un intérieur qualitatif, tous les éléments indispensables pour que la DS3 perce sur le marché comme la Mini …

Cependant, d’un point de vue plus « plaisir dynamique », le doute reste permis. Doit-on rappeler qu’à ce niveau la crédibilité du groupe PSA est déjà entamée. La DS 3 sera équipé d’un moteur 156 ch. ainsi que d’une boite manuelle a six rapports. Un moteur de 1,6 L, 4 cyl. en ligne et le tout pour une vitesse maxi de 215km. Un modèle à 200 ch. ou plus est fortement pressenti dans la mesure ou comme Mini (là aussi…) il existera de la DS une version WRC.

Le style de cette auto est séduisant, toutefois il faut garder en mémoire que la sellerie cuir, la peinture bi-ton , les inserts en chrome ainsi que le système de navigation incorporant un avertisseur radar sont à rajouté au prix de base de 20 000€. Le capot, le pare-choc avant, les phares ainsi que le pare-brise sont communs avec la C3, mais cela ne saute pas aux yeux. Sur la route cette voiture est fiable. Elle colle à la chaussée tout en restant confortable, elle accélère avec enthousiasme et vire comme il se doit pour une compacte sportive. Quel pied !

Renaud ne peut désormais plus prétendre être le seul spécialiste français des voitures sportives.La DS3 ne bluffe pas. Néanmoins, certains considéreront ils la DS3 comme trop féminine ? Entre cette nouvelle réussite et la Mini, plus exiguë et tape à l’œil, le choix n’est pas évident mais il semble que celui de la DS3 se fasse sentir dans les mois qui arrivent.

Le bilan de 2009 pour Renault

Pour le groupe au losange, 2009 s’est terminé par une perte nette de plus de 3 milliards d’euros... Alors que pour l’exercice 2008, il avait réalisé un bénéfice de 599 millions d’euros ! A noter que PSA qui à dévoilé ses résultats financiers avant ceux de Renault, a réalisé une perte de plus de 1 miliards d'euros pour 2009, c'est à dire que PSA s'en tire mieux que Renault.

Cette perte important s’explique par le rôle important joué par Renault dans les marchés qui ont été fortement touchés par la crise, car près de la moitié des pertes sont imputables à ces entreprises associées comme Volvo, Nissan, ...

Malgré ces mauvais résultats, Renault peut se réconforter comme il peut avec son C.A. du dernier trimestre 2009 qui a grimpé de 25 % ! Cela grâce aux primes à la casse qui a su boosté le marché. A noter tout de même que Renault enregistre la plus forte progression de part de marché pour le second semestre.

Mais se qui satisfait les dirigeant de Renault est d’avoir su préserver un flux de cash flow positif, il atteint donc plus de 2 milliards d’euros et a principalement servi à diminuer sa dette. Renault à pu atteindre ce résultat en réalisant des économies de 1,3 milliards d’euros et en diminuant ses coûts fixes. Ce qui signifie que Renault a du licencié ses employés et que la production a été fortement ralentie afin d'écouler un maximum de véhicules…

Pour 2010, Renault ne présente pas d’estimation financière, mais va continuer ses efforts concernant la baisse des coûts. Cela va se traduire une nouvelle réduction du personnel, des synergies supplémentaires avec Nissan, et éventuellement des accords de coopération avec d’autres constructeurs !

De plus, le constructeur français compte sur le succès de ses nouveaux modèles. Enfin, Carlos Ghosn a déclaré que le groupe dévoilera en 2011 un nouveau plan ! A suivre donc se dont Renault nous réserve pour les prochaines années.

La nouvelle Prius arrive enfin !

On l'attendait depuis de long mois, la nouvelle Toyota Prius marque un nouveau progrès dans l’ère des voitures hybrides.

Toyota présente au salon de Genève sa prochaine Prius et livre surtout ses spécifications. Si la plateforme à changé, le design a peu évolué, avec tout de même des feux Led qui lui donne un nouveau visage.

Au niveau des performances en terme de consommation, la Prius baisse de 14 %, soit 3,9 l/100 km de moyenne ! De plus son couple augmente pour une meilleure efficacité sur route. Son moteur à essence 4 cylindres 1.8L développe à lui seul 98 chevaux, pour un total de 134 chevaux avec le moteur électrique. Le passage du 0 à 100 km/h se fait en 9,8 secondes, soit un gain de plus d’une seconde par rapport au modèle actuel. Enfin elle ne rejette pas plus de 90 g/km de CO2 de quoi faire plaisir à la planète ! Une flotte de test d'environ 500 véhicules devrait circuler d’ici la fin de l’année.

La particularité de ce véhicule est qu'il sera doté de panneaux solaires qui alimenteront le système de climatisation, soulageant ainsi les batteries ! Quant aux tarifs ils n'ont pas encore été dévoilés. Souhaitont, qu'à la vu de ses performances, le prix de cette Prius prévu pour cet été ne s'envole pas trop !

Mini retourne en WRC

Volkswagen n’est pas le seul constructeur pressenti pour rejoindre le championnat du monde des rallyes l’an prochain. Des sources chez Mini ont confirmés au salon de Detroit que la marque britannique déciderait en mai de lancer elle aussi probablement une voiture de rallye, en catégorie S2000.

Le passé de Mini e rallye est très riche, la Cooper S originelle ayant plusieurs fois remporté le Monte Carlo (1964, 1965 et 1967). On sent chez le constructeur qu’il est temps de revenir dans la compétition : « La période et les coûts nous semblent favorables ».

Ne restent que de légers problèmes à résoudre et nous aurons la voie libre pour nous lancer. On murmure aussi en interne que Mini a mené des négociations avec l’équipe de David Richards, patron de Prodrive, au sujet de la conception et de la fabrication de voitures de rallye, ainsi que de la gestion de l’écurie. Alors que le championnat du monde des rallyes demeure dominé par les WRC, fortes en couple avec leurs turbos, l’IRC, championnat intercontinental parallèle est sous la coupe des S2000, plus lentes, ou Peugeot, Skoda et Fiat font la loi. Contrairement aux catégories WRC et Groupe N, le S2000 n’impose pas aux constructeurs de fabriquer des bêtes de course sur la base d’un modèle de grande série.

Dans cette catégorie, les voitures utilisent de nombreux éléments standardisés ou presque, dont le moteur, forcément un 4-cylindres atmosphérique acceptant les très hauts régimes, la boîte ou la suspension. Ceci, afin de limiter les coûts, tant au niveau de la conception que de la construction, et de la réparation, tout en rendant les courses plus spectaculaires, notamment côté bruit.

Alors que les caractéristiques de la Mini WRC – qui s’appellera Mini Cooper S en rallye – sont paraît il finalisées, l’aspect commercial du programme est encore sous évaluation. Mini doit cependant trouver un sponsor important, BMW ne finançant pas à 100% ces activités sportives.

Faut il révolutionner l’automobile avec les nouveaux procédés « politiquement correct » ?

CO2 par-ci, émissions par-là, le monde de l’automobile semble à ce jour se résumer à la seule et unique question de l’écologie. Mais pourquoi se focalise-t-on sur les voitures ? On en oublierait presque le fiasco du dernier sommet de Copenhague, ou les deux plus gros pollueurs au monde, à savoir les Etats-Unis et la Chine, n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur leur réduction de CO2.

En fait, l’Etat ainsi que les médias ont tellement pointé du doigt l’automobile qu’il en est devenu honteux de posséder un gros tout-terrain, pourtant plus écologique qu’une vieille Renault 5 GTL. Tout est dans la tête. Pour le prouver, rien ne vaut un exemple. Des journalistes allemands ont en effet découvert que de sa conception à son élimination, une Porsche 911 affiche un bilan écologique plus favorable à celui d’une Toyota Prius ! Ce genre de ‘détails’, personne ne s’en soucis, étrange non ?

Heureusement pour lutter contre ces aberrations, il existe toujours d’irréductibles préparateurs bien décidés à ne pas se laisser faire. Brabus en fait partie. Alors que Porsche est sur le point de présenter son Cayenne hybride, le préparateur allemand provoque en dévoilant son nouveau monstre, le GL 63 Biturbo. D’origine, il n’a déjà rien d’un élève modèle. En effet, avec ses 5,09 m de long, il affiche 2.5t sur le balance. Roi de la provocation et des superlatifs, Brabus n’a cependant pas hésité à lui greffer un V8 biturbo de 650 ch pour 850 Nm, histoire d’en remettre une couche. Le résultat est bluffant.

Ainsi, le 0 à 100 km/h est avalé en 4.7 sec, soit aussi bien qu’une BMW M5, tandis que la vitesse de pointe atteint la barre fatidique des 300 km/h. Pour souligner l’extravagance de la bête, Brabus annonce un tarif exorbitant de 368 000€. Alors que dire de ce genre de préparation ?
Une chose est certaine, produite seulement en quelques exemplaires, ce n’est pas cette GL 63 biturbo qui va réchauffer notre planète.

Pourtant beaucoup crieront au scandale en voyant en elle que le coté politiquement incorrect. Pour les passionnés d’automobile, elle représente cependant une valeur symbolique, celle de l’opposition envers un gouvernement sanctionnait sans cesse l’automobile.

Les pneus hiver

A-t’on vraiment besoin de pneus hier ? Beaucoup ont du se poser la question ces derniers temps, aussi nous avons pensé qu’il serait bien d’apporter quelques éclaircissement à ce sujet.

A la question qu’est ce qui différencie les pneus hier des pneus été, Michelin, un des principaux fabricants, a répondu « Deux choses : La composition et les sculptures. La composition revêt une très grande importance, elle contribue plus à l’adhérence par temps froid que les sculptures. Ce n’est pas que sur la neige et la glace que ces dernières, et particulièrement les lamelles, jouent à plein en mordant la surface et en évacuant la neige facilement. »

Les gommes hier, très tendres, contiennent plus de substances synthétiques, telles que la silice qui les aident à rester souples à basse température.« Elles se rapprochent de celles utilisées en qualification sur les voitures de course », a révélé Goodyear.

La température moyenne du nord de la France entre novembre et mars tombe largement sous les 7 degrés, seuil reconnu à partir duquel les pneus hiver sont plus efficaces, et à moins que la route ne soit totalement sèche, ces enveloppes sont sans concurrence. Ils procurent plus d’adhérence, autorisent un meilleur freinage, évacuent mieux l’eau et la neige. Bien que plus tendres, ils s’usent moins vite. Cela vous étonne ? Selon Continental, les recherches prouvent que les gommes plus dures des pneus été deviennent plus fragiles et abrasives quand il gèle. Évidemment, utiliser des enveloppes hiver durant la saison estivale exacerbera leur dégradation, et si des gommes mixtes existent, elles ne constituent qu’un compromis discutable.

Alors pourquoi ne pas suivre l’exemple de nos voisins européens et changer de pneus quand le froid arrive ? Déjà, parce que la législation française ne l’impose pas, contrairement à celles de l’Autriche, de la Suède et de l’Allemagne, notamment. Si vous avez un accident en Allemagne durant l’hiver alors que vous rouliez avec des pneus été, votre assurance refusera de vous couvrir. Dans l’Hexagone, tout comme e Italie et en Norvège, nous nous contentons de recommander sérieusement les pneus hiver. Si le montage de ceux-ci devenait obligatoire, il faudrait adapter les infrastructures. Dans certains pays européens, on peut commander sa voiture neuve avec un jeu de jantes en tôle supplémentaire et peu onéreux, qui recevront des gommes hiver et seront stockés chez le revendeur. Mais pour cela, il faut qu’il y ait une demande forte. « Celle-ci a explosé cette année » nous confie t’on chez Michelin. Mais elle ne représente qu’une très faible part des millions de pneus vendus chaque année, alors qu’en Allemagne c’est du 50/50 ! Les gens confondent trop souvent pneu neige et pneu hiver, alors qu’ils sont bien différents.

E-TRON : la future R8 revue et corrigée

En profond désaccord avec le cinéaste Roland Emmerich, Audi n’envisage pas la fin du monde en 2012, mais bien de mettre en production sa supercar électrique, l’E-tron, à la quantité de 1 000 exemplaire pour près de 100 000€. Il ne s’agit pas d’une simple R8 gavée de piles Duracell.

En effet, si l’E-tron reprend le châssis en aluminium spaceframe de l’R8, elle est abaissée, voit son empattement tronqué et ses porte-à-faux avant comme arrière plus courts. De nombreux éléments de suspension sont partagés mais la version finale héritera d’une structure spaceframe spécifique et se passera du carbone, de l’habitacle de science-fiction et des éléments aérodynamiques actifs du concept.

Ne vous laissez pas leurrer par le couple gargantuesque de 4 500 Nm. Au total, les moteurs électriques propulsant chaque roue individuellement délivrent 313 ch et 680 Nm. Le 1er chiffre a été mesuré aux roues et non au moteur, et a donc été démultiplié par la transmission. L’E-tron n’en devient pas pour autant un veau. Audi a annoncé un 0 ç 100 km/h en 4,8 sec, soit juste 0,2 sec de plus que l’R8 V8. On peut contrôler individuellement le moteur de chaque roue pour vectoriser le couple afin de rendre la voiture plus agile. Sachant que les 473 kg de batterie lithium-ioniseront logés juste devant l’axe arrière, cette aide supplémentaire ne sera pas un luxe. L’autonomie devrait être de 240 km, la recharge des batteries prenant entre 6 et 8heures selon la prise électrique.

En décembre dernier, en surplomb de l’océan Pacifique, Audi a planté un chargeur de 400 volts capable de recharger l’E-tron en 2 heures. Ironiquement, il était alimenté par un groupe électrogène à combustible fossile dégageant des fumées très désagréables, gâchant ainsi le coté super école de l’élégante supercar.



Le fait qu’Audi ait invité la presse à venir essayer pied au plancher la seule E-tron roulante en dit log sur sa foi en son projet. Cela dit « pied au plancher », ça signifiait 110 km/h : pas de quoi mettre en péril les batteries. De toute façon, même sans limiteur, elle plafonne à 200 km/h.

A la mise en route, l’E-tron n’émet que quelques claquements bizarres, et un ronronnement alors qu’elle procède à ses vérifications de sécurité. Ce qui suit est surréaliste. Elle bondit littéralement jusqu’à 80 km/h et demeure aussi silencieuse qu’à l’arrêt. Les 35 km/h suivant impressionnent moins, les seuls bruits perceptibles ne provenant que des pneus et du vent.

Même si cela aurait été inconcevable il y a quelques années, cette E-tron pourrait bien représenter le futur de l’automobile.

L'Auto écolo : la voiture hybride

Depuis plusieurs mois, nos entendons parler des voitures hybrides ici et là. Mais connaisser vous réellement ce dont ce termesignifie ? Le gouvernement essaie de sensibiliser au maximum les automobilistes en instaurant des primes aux futures acheteurs qui souhaitent rouler"propre".

Qu'appelle t'on une voiture hybride ?

On appel ainsi les voitures dont leurs motorisations font appel à l'utilisation d'au moins deux types d'énergies. Il s'agit pour l'instant d'un moteur à essence ou gasoil, et d'un moteur électrique.


Les avantages d'une voiture hybride ?

- Vous pouvez participer à la protection de la planète, car ces moteurs rejette beaucoup moins de gaz à effet de serre,
- réaliser des économies de carburant, qui peut aller jusqu'à 50 %,
- obtenir des réductions fiscales avec les bonus écologiques,


La Toyota Prius comme exemple

Avec cette voiture, vous roulez entierement à l'électrique à faible vitesse. Lors que vous avez besoins de roulez à une vitesse supérieure, le moteur thermique reprend son rôle et l'énergie est stocker au moment du freinages afin de recharges ses batteries.

Les voitures low-cost

Tout d’abord une petite présentation de cette notion : il s’agit d’un Concept économique et marketing basé sur la pratique de prix plus bas que la moyenne du marché. Le concept du "low cost" est surtout utilisé dans le domaine des services (hôtellerie, transport aérien, ou encore location de voiture ce qui nous concernera le plus ici), il s’agit un peu du hard discount des services.

Ces nouvelles voitures s’implante de manière de plus en plus franche sur les marchés européen, initialment prévu pour les marchés d’Asie et d’Europe de l’est.
Comment est percue ce nouvel entrant dans ce marché par les grands construction, vont-ils développé ce projet ou le rejetté, telle est la question à laquelle nous allons tenter de trouver des réponses.













>Renault

Pionnier dans ce domaine, Renault a tout simplement pris un avantage certain vis à vis de la concurrence. De plus le succès énorme qu’a soulevé leur modèle low cost Logan.
Petit aparté sur le sucès de la LOGAN : L’an dernier 367 000 LOGAN ont été commercialisées dans le monde, en augmentation de près de 50% par rapport à l’année précédente. Ensuite l’exceptionelle rentabilité de la LOGAN avec des marges qui augmentent de façon impressionnante. CARLOS GHOSN le disait en début d’année, lors de la présentation des résultats de RENAULT : “Voiture à bas prix ne signifie pas voiture à bas profits. L’an passé, la rentabilité de la LOGAN a été supérieure à 6%. Elle a même dépassé 8% en Roumanie”. Grâce à son segment de véhicules low cost, le groupe RENAULT a pu annoncer une marge opérationnelle de 3,3% en 2007

Renault à l'heure actuelle réfléchi à une nouvelle génération encore moins chère de ce modèle. Carlos Ghosn a ainsi affirmé que "La nouvelle génération des Logan sera encore plus compétitive". Une telle voiture pourrait être construite à un prix oscillant entre 1500 et 4000 euros, en comportant des concepts complètement différents" . Renault ne pourrait toutefois pas être en état de la vendre sur tous les marchés immédiatement à cause de différentes lois et autres règlements de sécurité.
Pour réaliser cela, le groupe RENAULT-NISSAN a annoncé il y a quelques jours son alliance avec un autre constructeur indien : Bajaj Auto.
Ce rapprochement va également permettre de développer, produire et commercialiser une voiture hyper low cost, au prix de base de 2 500 dollars (soit environ 1 600 euros). Son nom : ULC pour Ultra Low Cost ! Cette nouvelle voiture devrait sortir des usines indiennes en 2011. L’ Ultra Low Cost est la concurrente directe de la Nano de Tata Motors, qui a l’intention de vendre sa voiture 100 000 roupies à partir de septembre
Renault s'est fixé en effet decontrer le groupe indien TATA et sa NANO.


>Toyota

Le premier constructeur automobile mondial ne pouvait pas rester sans réagir face à l'essort de ces nouveaux modèles très bon marché.Katsuaki Watanabe, le président de Toyota a déclaré au Financial Times que sa société planchait sur un processus de conception ''ultra low-cost'' . Pour produire une telle voiture, le constructeur japonais envisage une sorte de petite révolution qui consisterait à revoir intégralement le design, les matériaux (voire en inventer de nouveaux si nécessaire) et les process de fabrication de ses véhicules afin d'en concevoir un totalement inédit, à coûts ultra réduits. Selon les médias japonais, Toyota ambitionne de commercialiser sa voiture à bas prix entre 2008 et 2010 à un tarif avoisinant les 6500 dollars (environ 5000 euros).














>Les marques chinoises

Landwind, Gely, Great Wall Motors, Brillance, ces noms ne sont plus inconnus pour vous puisque ces constructeurs participent à la majorité des grands salons internationaux. Seul souci, aucun des véhicules présentés par ces firmes n’a encore réussi à franchir le pas d’une seule concession française en raison de leur échec à l’homologation.L’UTAC (Union Technique de l'Automobile, du Motocycle et du Cycle) semble ne pas vouloir communiquer les raisons précises de leur non-homologation. Sans trop nous avancer, on peut d’ores et déjà émettre des réserves concernant leur sécurité. Une opinion confirmée par les propos d’Elisabeth Young, responsable d’Asie Auto, le principal importateur des marques asiatiques dans l’Hexagone : « Après quelques soucis, nous attendons l'homologation des Landwind X-Pedition et Fashion pour la fin du mois d'avril. » Souvent annoncée, toujours repoussée, reste à connaître désormais la date officielle de commercialisation.

Qu’on se le dise, les véhicules low-cost ne sont pas près de connaître la crise en raison notamment de l’importance des marchés émergeants.

Les possibilités sont énormes à l'image de Renault qui, en attendant la deuxième génération de Logan, envisage d’ores et déjà de nouvelles évolutions pour la Logan avec dans les mois et années à venir des versions 5 portes, pick up, utilitaire et même 4x4.

Chez Citroën, on assiste à un changement de politique assez radical. Si Claude Satinet (l’ancien patron de la marque) était farouchement opposé à la mise en place d’un modèle low-cost, Gilles Michel, le nouveau Directeur Général avoue y réfléchir : "La voiture low-cost ? Je trouverais logique que Citroën s’y investisse et effectivement, nous regardons la nature de la réponse que nous devons apporter. Celle-ci ne sera pas une réplique de ce que d’autres ont déjà fait. S’il s’avère qu’il y a une demande significative pour une voiture dont le coût est le principal pôle d’attraction, avec des prestations basiques, nous devons avoir une réponse".

L'écologie est elle la seule et unique voie pour sortir de la crise ?

La réponse ne semble en effet pas évidente, et les nombreux débats qui animent cette problématique en sont la preuve.

Si on compte sur les véhicules électriques, les carburants bio, l'hydrogène voir les « éoliennes à quatre roues motrice » pour sortir de cette virulente crise, nous prenons de gros risques et il est évident que nous allons être confronté à de nombreuses surprises, ne serait ce que par les contraintes qu’imposeraient de manière évidente la commercialisation de masse de nouvelles voitures aux technologies encore mal maîtrisée.

Ceci ne veut pas dire qu'il ne faut pas prendre en compte ce nouveau système de propulsion qu’est celui de l’électricité, mais il faut nuancer ses effets positifs, au moins dans un court et moyen terme : les voitures électriques présentes aujourd’hui des coûts importants qui ne sont, rien qu’à eux seuls, responsable du fait que cette nouvelle technologie ne pourra s’imposer immédiatement.

Le bon vieux moteur traditionnel à explosion progresse quant à lui : il consomme et pollue de moins en moins, sans parler d'une puissance qui elle aussi s'accroit.















Donc on s'investie dans quelle direction, quel choix stratégique faire pour les constructeurs automobiles? Tout miser dans des technologies qui seront, si elles aboutissent des facteurs clé de succès incontournables, et ce ne serait ce que par leur valeur éthique (véhicule qui ne polluent plus), ou bien continuer à exploiter un moteur à explosion, bien connu et certes maîtrisé, mais qui sera toujours poursuivit par cette image néfaste lié à sa consommation, sa pollution dégagée.


Une barrière technologique non négligeable et incontournable se pose à l’entrée de ce secteur, c’est une évidence. Mais la question importante à se poser est aussi le coût du produit fini, et donc du prix à payer pour un consommateur lambda ?
Je pense que si les constructeurs réussissent le challenge d’arriver à produire en série ce genre d’automobile, il y aura encore un long chemin avant de produire ce type de voitures avec des coûts minime.
Il est évident que le jour où l'automobile électrique, par exemple, coutera aussi cher qu'une Logan ou une Nano, nous pourrons affirmer que ce produit de substitution est bel et bien finalisé et arrivé à son objectif premier, cependant, on en est encore loin.

Bien évidemment, il faut commencer si on veut aboutir un jour, et les efforts de Renault dans ce domaine sont tout à fait louables. Ceux de PSA (hybride diésel), Toyota (hybride essence), BMW (hydrogène), GM, etc. le sont tout autant. Mais si on ne fait que cela, hélas, il semblerait que ce soit insuffisant.


La sortie de crise sera encore longue et les aides d'État perdront de leur efficacité, voir même qu’elles seront négatives car les entreprises de l’automobile s’y habitueront.

Un choix doit être fait par les plus grands constructeurs automobiles pour sortir de cette crise.

Nous verrons prochainement les choix prient par chacun d’entre eux.

La Smera, le véhicule 100% écologique

Lumeneo peut être fiers de sa nouvelle réalisation : la Smera se présente comme une petite voiturette pratique pour la ville. Son gros point fort : elle est totalement électrique !

Elle repose sur trois mots d'ordres, à savoir son coté pratique, conçu pour la ville et écologique.

Concernant la consommation du véhicule, recharger les batteries reviendrait à 1 euro ! Qui dit mieux ? Les batteries chargées entièrement permettent de réaliser jusqu'à 150 km en ville, par contre les batteries ont une durée de vie limité, à savoir environ huit années ! Pour pouvoir remplacer ces batteries au moment voulu il faudra débourser environ 8 000 euros auquels ont pourra soustraire les 5 000 euros de bonus écologique.

Coté performance, la voiture peut tout de même atteindre les 130 km/h, même si elle n'en aura pas réellement l'utilité.

Le président d'ile de France a annoncé son choix de soutient dans ce véhicule en versant 260 000 euros de la région pour l’aides à l’entreprise Lumeneo.
La sortie est prévue pour fin novembre, il vous foudra débourser tout de même environ 29 000 euros pour pouvoir s'offrir ce petit joujou écologique !

La Tesla, la voiture électrico-écolo-chic

La tendance du moment : la Tesla ! Un bolide équipé de batteries 100 % sportives sans rejet de gaz !

Cette voiture offre des performances qui réconcilient à la fois les amateurs de bolides qui dépotent et les ardents défenseurs de l’environnement. Ce progrès technologique c'est réaliser grâce à la volonté d’un homme, Elon Musk, un milliardaire éco-visionnaire.

La Tesla c'est la première voiture de sports 100 % électrique et 100 % sport fabriquée en série ! Niveau performances, elle réalise le 0 à 100 km/h en 3,9 secondes ! La vitesse maxi est quant à elle bridée électroniquement à 200 km/h afin de ménager l’autonomie des batteries. Avec ses performances, la Tesla Roadster peut se venter de rivaliser avec les autres Porsche et Ferrari !

La Tesla embarque pour 450 kilos de batteries lithium-ion, et leur recharge complète nécessite quatre heures, pour une autonomie qui atteint paraît-il les 350 kilomètres.
Pour recharger cette Tesla, il suffit de la brancher sur une prise électrique à haut débit. On peut aussi recharger la voiture sur une prise classique. Mais cela prend beaucoup plus de temps ! Au niveau de sa durée de vie, elle est d'environ 160 000 kilomètres !

Au lieu de faire le plein d’essence, le conducteur arrivera sur une plateforme automatique qui retirera la batterie déchargée par une batterie à 100 % de son autonomie…

D’ici 2012, les plus grandes villes seront équipés de 250 000 prises de charges électriques en libre service.

Pour se payer se petit bijoux, il vous faudra débourser entre 110 000 et 140 000 dollars selon les options. Mais vous pouvez déduire environ 10 000 dollars que les pouvoirs publics reversent aux acquéreurs d’une Tesla afin d’encourager l’achat de véhicules à pollution zéro !

La première Mini électrique

La toute première Mini électrique n'est pas encore tout à fait disponible pour le moment, mais le groupe BMW à laissé à son équipe cette voiture électrique afin qu'ils puissent donner leurs évaluations et dons ainsi soumettre leurs remarques aux ingénieurs allemands.

Une fois allumée, la Mini E se lance avec la rage d'une Cooper S, et la nervosité de celle-ci, mais la réelle différence se fait à la décélération!

Lors du décélérage, l'énergie cinétique est transformée en électricité qui charge la batterie lithium-ion, elle représente tout de même 260 kilos qui doit automatiquement condamner la banquette arrière. Mais elle permet une autonomie de plus de 200 km. Bref, assez pour une citadine branchée qui est en fait un véritable labo roulant à 612 exemplaires aux Etats-Unis, à Londres et Berlin.

Dès la mi-2010, cette Mini E devrait aussi être proposée en France. Mais le lancement d'une grande série n'est malheuresement pas encore prévu avant un petit moment. Car le problème majeur est la fabrication de ses batteries en très grande quantitée, chose dont personne au monde n'est capable actuellement.

Après une année d'expérience acquise en Californie, les premiers renseignements viennent de tomber. Avec bien plus que 100 miles d'autonomie et des performances très dignes, la Mini E assure sans mal la plupart des trajets urbains. Seul souci, la recharge sur secteur demande environ 2 heures 30. Et le coût de sa batterie reste, pour l'instant, prohibitif.

BMW X6 ActiveHybrid

Au Salon de Francfort, le constructeur bavarois dévoile l'ActiveHybrid X6.

Ce SUV coupé X6 hybride représente davantage une démonstration de force au niveau technologique qu'une véritable percée dans le domaine des véhicules plus respectueux de l'environnement.

En effet, La technologie BMW ActiveHybrid permet de rouler soit en tout électrique, soit avec le seul moteur thermique ou encore en associant les deux modes de propulsion. Rouler en mode électrique sans émettre de CO2 est possible jusqu’à une vitesse de 60 km/h.

Le moteur thermique est mis en route et est automatiquement mis en veille en décélération à des vitesses inférieures à 65 km/h. Le X6 hybride (Stop&Start et récupération d'énergie au freinage par exemple) est animé par le moteur V8 4.4 double turbo de 407 chevaux couplé à deux moteurs électriques.

Ainsi le niveau de consommation moyenne s'établit à 9,9 l/100 km soit 231 g/km de CO2, des performances respectivement en baisse de 20 % et 30 g/km de CO2. Le X6 hybride change de tranche et passe alors du malus de 2 600 euros à 1 600 euros.

Hybride peut-être mais toujours sportif : l'exercice du 0 à 100 km/h demande 5,6 secondes pour une vitesse maximale de 236 km/h.

Ce X6 représente clairement une démonstration de force dans le domaine technologique.